Nawaaaaak !!! |
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| Ma fan fic : Déchirer la page | |
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Mo Arasick
Nombre de messages : 665 Age : 37 Localisation : National Stadium Mec(s) idéal : Arashi au complet, ils ont chacun un aspect qui donne un être parfait. Humeur : Luciférienne Date d'inscription : 05/01/2008
| Sujet: Ma fan fic : Déchirer la page Sam 5 Jan - 3:45 | |
| Rappel du premier message :Chapitre 1
J'attendais là sous la pluie, pensant que dans certains pays il devait faire sec et chaud à cette époque de l'année, que là bas il ne pleut que deux mois par an, en abondance certes, mais tout le monde le sait depuis des générations et cette pluie est une bénédiction, tandis qu'ici elle tiens plus de la calamité. Elle applatie la coiffure de certaines, et fait friser les cheveux d'autres, salit les voitures, mouille les pieds des citadins et oblige à trimballer un parapluie dans le métro. Ma mère se gara juste devant moi et je montais dans la voiture, les cheveux collés au visage et les pieds trempés. Au passage j'écrasais le parapluie posé par terre. -Sarah tu ne peux pas faire attention ? Me demanda ma mère déjà excédée, chienne de pluie, ton père à lavé la voiture hier en plus ! -Bonjour à toi aussi ! Répondis-je en levant les yeux au ciel. -Ho arrêtes tes sarcasmes ça ne fais rire que toi ! -Tu me vois rire ? Et puis cela fais longtemps que j'ai renoncé à la périlleuse aventure de te faire seulement sourire ! Ma mère n'avait pas fait l'esquisse d'un vrai sourire depuis des mois, excepté les sourires démagogiques à son patron qui lui avait offert, selon elle, la promotion qu'elle avait attendue toute sa vie. Elle était devenu directrice de recherche d'un grand laboratoire de cosmétiques. J'étais allée la voir au labo un jour, je me souviens avoir eu du mal à la reconnaître, elle disparaissait dans cette blouse blanche cintré, n'étant déjà pas très grande (je la dépasse largement de 10 cm) mais ajouter cela à sa minceur, ce déguisement immaculé la rendait presque invisible. Son teint parfaitement blanc, ses cheveux noirs corbeau coincé dans un chignon haut impécable, ses grands yeux verts qui semblaient vouloir lire mon âme sans jamais y parvenir, son nez aquilin et ses minces lèvres vermeilles toujours pincées faisaient d'elle à ce moment le portrait parfait de la mère acariatre qui faisait des enfants parce que c'était de bon ton dans les bonnes familles. Ce jour là je su ce qu'indifférence voulait dire, c'est à peine si elle avait vu que j'était là. Il faut dire que physiquement nous n'avons pas grand chose en commun à pars le teint pâle et la minceur, j'ai les yeux bleus de mon père, les cheveux chatains longs et en bataille, un tout petit nez et les lèvres relativement pulpeuse. Quand je suis arrivé au labo personne n'a voulu croire que j'étais sa fille ... Ma mère était devenu une étrangère pour moi et pour presque toute la famille, j'en avais pris mon parti et mon père aussi. Son ambition passait avant nous, mais que voulez vous on ne force pas les gens à avoir l'esprit de famille ! Tout cela serai passé presque sans problèmes si elle n'avait pas décidé de s'occuper de mon propre destin, maintenant qu'elle était arrivé au plus haut poste qu'elle pouvait espérer. Voyant que je n'avais de motivation pour aucun métier en particulier, elle pris la décision d'avoir de l'ambition pour deux. Elle envoya moulte demandes d'inscriptions à quasiment toutes les écoles réputés de France (heureusement pour moi ce n'est pas ce que l'on a de plus !) et attendait les réponses avec une avidité non dissimulé. Vu que j'étais plutôt bonne élève elle nourissait de grands projets à mon égard : Avocate, architecte, medecin, bref tous les métiers au nombre d'années détudes interminable pour arriver à un métier que je n'aurai aucun plaisir à exercer mais qui aurait pour avantage "de te mettre définitivement hors du besoin". Ses discours épuré de tentatives de compréhension de mes sentiments m'agaçais à un point difficilement imaginable, mon père n'en disait rien, comme d'habitude, je devais chercher mon soutient ailleur ... Mes amis ... au nombre de trois (sincères) dispercés un peu partout en France (merci internet !), mon petit ami qui avait tout de léonardo DiCaprio je l'attendais toujours, au grand desespoire de ma mère : -Sarah, j'aimerai te voir marié avant trente ans ! -Maman, j'aimerai te voir me comprendre avant de mourir ! Ces boutades étaient devenu le sport national et quotidien à la maison et m'épuisais. Elles raisonnaient dans ma tête toutes les nuits sans que je parviennent à m'en défaire.
Cela faisait dix minutes que nous roulions dans le silence lorsqu'elle se gara devant le conservatoire où je prenais des cours de danse, valse selon la volonté de ma mère, danses Africaines selon la mienne. -Ton père passe te prendre dans deux heures et demi, me dit ma mère quand je descendais de la voiture en me prenant les pieds dans le parapluie. J'avais à peine refermé la porte qu'elle démarra en trombe. Où pouvait elle aller si rapidement ? Probablement nul part mais les gens ont tellement l'habitude d'aller vite qu'ils oublient qu'ils ont le temps de vivre. J'entrais dans le conservatoire toujours trempée et retrouvais quelques amis dont mon partenaire pendant les cours de valses. Après quelques banalités nous allions nous préparer pour le cours. J'étais la plus jeune du cours de valse, mais je ne me débrouillais pas trop mal alors je n'étais pas mise à l'écard. Le cours passa rapidement, une petite heure de calme et de concentration. tout changea pour le cours de danses Africaines, la musique était ennivrante, je me laissais berçer dans ces pas de danse synonyme pour moi d'évasion et de bien être. Tout mon corps vibrait au rythme des tam tam qui nous guidaient. Je fermais souvent les yeux et m'imaginais loin, très loin d'ici, de cette réalité que j'avais finit par haïr. Mais cela faisait quelques nuits que je ne dormais presque pas, je n'avais pas mangé depuis la veille au soir, fait coutumier chez moi, certains jour je ne pouvais voir aucun aliment sans ressentir une intense envie de vomir. Après une pause en me levant je sentis tout mon sang descendre, ma vision se troubla et devint étoilée comme une nuit d'été sans nuages, le sol devint mou comme du coton, la chaleur quitta mon corps et tout devient noir. Je ne me souviens ensuite que d'une violente douleur à la tête avant de me réveiller. | |
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Auteur | Message |
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queen rizu • Reine du monde•
Nombre de messages : 865 Date d'inscription : 05/01/2008
| Sujet: Re: Ma fan fic : Déchirer la page Mar 8 Jan - 19:05 | |
| feignaaaaaaaaaaasse! | |
| | | Mo Arasick
Nombre de messages : 665 Age : 37 Localisation : National Stadium Mec(s) idéal : Arashi au complet, ils ont chacun un aspect qui donne un être parfait. Humeur : Luciférienne Date d'inscription : 05/01/2008
| Sujet: Re: Ma fan fic : Déchirer la page Mar 8 Jan - 20:19 | |
| tu peux parler !
je vais prendre une douche et je tape ca ! | |
| | | queen rizu • Reine du monde•
Nombre de messages : 865 Age : 36 Localisation : Dans mon chateau/QG sur mon archipel! (Parfois près de la Tokyo Tower héhé) Mec(s) idéal : Ueda Tatsuya, alias mon brochet pervers chéri d'amour (puis certains de mes fidèles serviteurs jap'! ) Humeur : Dominatrice et majestueusement royale! Date d'inscription : 05/01/2008
| Sujet: Re: Ma fan fic : Déchirer la page Mar 8 Jan - 21:03 | |
| moi j'ai pas de fan fic à taper donc jrisque pas d'avoir la flemme | |
| | | Mo Arasick
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| Sujet: Re: Ma fan fic : Déchirer la page Mar 8 Jan - 23:35 | |
| Chapitre 3
Je m'éveillais - à mon sens - vers 8h du matin lorsqu'une infirmière entra avec le petit déjeuné, elle le mit devant moi avec un sourire poli et sortie en me souhaitant un bon appétis. Mes yeux collais et j'avais l'impression qu'ils étaient plein de sable. Il me fallut quelques instant pour me souvenir d'où je me trouvais, pourquoi je m'y trouvais et surtout pourquoi j'avais ce sentiment de rage mélé de tristesse. Une fois mes yeux alertes, je tendis le bras vers la télécommande en constatant que je n'avais plus de perfusion, j'allumais la télé sur une chaine qui diffusait des dessins animés. Bah oui on peu avoir - à peine - 18 ans et toujours regarder des dessins animées quans on a le cafard ! Je tentais ensuite de m'assoir, à mon grand étonnement j'y parvint sans effort ni étourdissements ni douleur à la tête, j'approchais le plateau de moi. Je n'avais pas faim, mais l'idée de manger ne m'étais plus insupportable et je décidais de me forcer à manger, ne serait-ce que pour hater ma sortie de l'hopital. Je ne laissais qu'un fond de compote que mon cher docteur Marc me força à finir lorqu'il vint me voir une vongtaine de minute plus tard. Il me demanda ensuite d'essayer de me lever, ce que je fis sans problème. Il était apparement ravi de mon état de santé, après quelques examens de routine, il m'autorisa à aller me doucher. Je savourais cette douche le plus longtemps possible, l'eau chaude détendit tous mes muscles et le bruit de l'eau m'empêchait de penser pendant un instant seulement, mais c'était exactement ce dont j'avais besoin : ne pas penser ! Une fois habillée je partie faire un tour dans l'hopital, autant pour me distraire que pour montrer à mon docteur Marc que j'allais parfaitement bien. Mais discuter avec des patients ne fit rien pour améliorer mon moral. Surtout Franck, jeune homme d'une trentaine d'année, séropositif. -Ils me gardent parce que la dernière fois qu'ils m'ont laissé sortir j'ai voulu sauter d'un pont ! Ses malheurs étaient infiniement plus grave que les miens et pourtant ... il avait ce virus incurable et moi j'avais ma mère et mon avenir sombre ... incurables à leur smanière ! Je retournais dans ma chambre lorsqu'ils apportaient les repas de midi que je mangeait sans y penser, uniquement pour pouvoir sortir de ce lieux qui me rendait malade. Il était presque 17h30 lorsque Marc passa me voir, mon état ne necessitait pas une nuit d'hospitalisation de plus d'après lui, et queand je lui mentis légèrement en lui disant que mon père travaillait tout près d'ici, il concentit à signer mes papiers de sortie immédiatement, à condition que je vienne passer une visite de contrôle deux jours plus tard. Je lui promis et environ une demi-heure plus tard j'étais sur le parking. 18h en novembre, entre chien et loup comme ondit, le temps avait changé, il faisait beaucoup plus froid et sec. Un petit vent glacé vint me tirer de ma torpeur, où aller ? je n'en savais rien, mais surtout pas chez moi ! Je sentit un tiket de métro neuf dans ma poche et je m'engouffrais dans la première bouche de métro qui croisa mon errance. Je descendit gare de Lyon sans savoir pourquoi, elle était bondée à cette heure mais j'en sortais sans avoir croisé le regard de quiconque, je marchais, c'est tout, en trainant des pieds, sans penser, de toute façon je ne pouvais plus. Mes mains et mes pieds étaient gelés, j'avais marché une vingtaine de minute à 2km/h depuis la gare de Lyon, je passais sur un petit pont près de Bercy d'après ce que je voyais. Toujours sans réfléchir, je pris appuie sur la rambarde et m'assis dessus, les pieds dans le vide au dessus de la voie ferrée. Je regardais passer les trains grandes lignes comme une vache, ils partaient vers Lyon, Marseille etc. Il me vint l'envi de me trouver dans l'un d'entre eux, n'importe lequel, mais fuire mes problèmes ne les résoudrait pas. Je me mis alors à penser à Franck, qu'avait il ressentit ? Pourquoi choisir d'en finir ? Pourquoi pas ? Petit à petit mes sens me quittais, j'avais les yeux fermés, le froid avait engourdit tout mon corps, les trains et les voitures qui passaient derrière moi n'étaient qu'un loingtain murmure de va et viens, un peu comme les vagues qui s'échouent sur les rochers, ma bouche était sèche. Je me sentais attiré par ce vide, cette chute qui, en quelques secondes rêglerait tous mes problèmes, je me penchais de plus en plus ... J'entendis à peine une assez grosse voiture s'arrêter derrière moi, une portière s'ouvrit puis claqua. Une main se posa sur mon épaule et me tira doucement en arrière, je ne compris même pas ce que la personne me dit. Au moment ou j'essayais d'ouvrir les yeux et de me retourner, mon corps engourdit glissa en arrière sans que je ne puisse rien faire pour me retenir, mais la personne me ratrappa avant que je ne touche le trotoire. Elle ou il cria quelque chose, une portière s'ouvrit et quelqu'un me porta dans la voiture. Je sentit à peine la chaleur avant de m'évanoir. | |
| | | queen rizu • Reine du monde•
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| Sujet: Re: Ma fan fic : Déchirer la page Mer 9 Jan - 0:16 | |
| suspense, mais qui est dans la voiture | |
| | | Mo Arasick
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| Sujet: Re: Ma fan fic : Déchirer la page Mer 9 Jan - 1:10 | |
| vous le saurez dans le prochain épisode | |
| | | queen rizu • Reine du monde•
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| Sujet: Re: Ma fan fic : Déchirer la page Mer 9 Jan - 12:33 | |
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| | | Mo Arasick
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| Sujet: Re: Ma fan fic : Déchirer la page Mer 9 Jan - 20:55 | |
| Atta j'avais recopier que ces 3 là je recopie ca ce soir et si j'ai le temps je le tape sinon c'est demain ^^ | |
| | | queen rizu • Reine du monde•
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| Sujet: Re: Ma fan fic : Déchirer la page Mer 9 Jan - 22:31 | |
| okay man bouarf moi aussi faut que je tape mon histoire | |
| | | Mo Arasick
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| Sujet: Re: Ma fan fic : Déchirer la page Mer 23 Jan - 2:51 | |
| Chapitre 4 Je ne sais combien d'heures plus tard ( le vent ayant emporté ma notion du temps), je me réveillais dans une pièce désagréablement familière : les murs clairs, la télé au mur, l'ancéphalogramme et la perfusion. Toutes les chambres étaient identiques mais je su que j'avais la même chambre au magazine posé sur la table de chevet. Je fermais à nouveau les yeux après m'être rendu compte d'où j'étais. Qui m'avait ramené ici ? C'est la question qui me vint tout de suite à l'esprit. Et je n'arrivais à me rapeller de rien, je ne savais même pas si je devais haïr ou remercier cette personne de m'avoir sauver la vie. Après une petite heure de réflexions intérieures, j'arrivais à la conclusion que si cette personne m'avait sauvé c'est que mon heure n'était pas arrivée, logique non ? Je n'avais donc pas encore assez souffert, je devais rester sur terre. La personne qui m'avait sauvé n'avait été qu'un instrument du destin et méritait que je la remercie malgré tout. Le seul problème c'est que je ne savais toujours pas qui s'était ! -Ha Sarah ! Dit mon docteur Marc en entrant dans ma chambre. -J'espère que je vous ai manqué ! Lui dis-je. -Vous non, mais votre humour oui ! Je fis un lèger sourire, m'attendant à recevoir un sermont de sa part mais il n'en fit rien. Il se contenta de relever mes analyses dans un premier temps, puis il me dévisagea avec des yeux de St Bernard, pris une chaise et s'assit près de mon lit. -Votre père est passé ce matin, nous avons un peu discuter, il a eu beaucoup de mal à comprendre votre geste, ou dù moins vos intentions, mais à force de m'exposer tout ce qui aurait pu vous y consuire il a reconnu que finalement vous aviez un paquet de raisons ! Je pense que vous allez trouver un père transformer en rentrant chez vous ! Je souri à peine, ce que mon père en pensait me passait, pour l'instant, largement au dessus de la tête. -Qui m'a amené ? Lui demandais-je. -Vous ne l'avez pas vu ? -Je ne pouvais pas, tout était flou ... -Et bien, il se gratta la tête, je ne sais pas si je peux vous le dire ... -Comment ça ? -Et bien, nouveau grattage de tête on aurait dit qu'il s'était préparé à cette question mais que toutes les réponses qu'il avait imaginé disparaissaient soudainement. -Et bien ? Le pressais-je. -Et bien ce n'est pas un citoyen banal ! C'est quelqu'un d'assez connu ! Tout cela devenait de plus en plus intriguant. -Quelqu'un de connu m'a sauvé la vie ? -Oui ... -Et vous ne voulez pas me dire qui s'est ? -Je ne suis pas sur de pouvoir ! -Pffff ridicul ! Dis en me laissant tomber sur mon oreillé, profondément aggacée Il baissa la tête et j'éprouvais quelques remords à être aussi dur avec lui alors qu'il n'y était pour rien. -Pardonnez moi, m'excusais-je, mais je suis curieuse. -Ce n'est rien, me dit-il, je comprend que vous vouliez savoir, il a dit qu'il essayerait de passer vous voir. -"il" ? Lui demandais-je ravie d'avoir une information et à la fois septique s'il devait venir me voir pourquoi ne pas me dire qui c'était ? mais je préfèrais me taire. -Oui "il", me dit-il en se levant avec un clin d'oeil et quitta la chambre. Je n'étais pas beaucoup plus avancée, je savais seulement que c'était un homme qui m'avait ramené ici, dans cet hopital où je m'apprêtais à passer ma troisième nuit consécutive. C'était comme si rien ne s'était passé, tout était flou dans ma tête, qu'est ce que j'allais bien pouvoir faire maintenant ? Le fait que ce soit mon père et jamais ma mère qui vienne me voir, qu'elle ne me laisse même pas un mot me rendais à la fois triste et d'un autre côté ne m'étonnais pas. Etant évangéliste ma mère considérait le suicide comme une utoroute vers l'enfer, il y avait de forte chance pour qu'elle ne m'adresse même plus la parole de peur de me suivre en enfer peut être. Je souri à l'idée que la case "vivre avec elle" avait disparut de l'échiquier de ma vie. C'était la première fois que je souriais frachement depuis un moment et je constatais avec douleur que j'avais les lèvres complètement gercées, mais pas moyen de me lever pour chercher le labelo dans la poche de ma veste, je dù attendre le passage du docteur Marc qui m'apporta lui même mon dîner pour être sur que je le mange vu que j'avais insisté pour qu'on m'enlève la perfusion. -Promettez moi de ne jamais recommencer ! Me dit il soudainement alors que j'étais en plein dessert. -Je ... heu ... je vous le promet. Je l'avais surtout dit pour le rassurer, bien que faire une nouvelle tentative de suicide ne soit pas dans mes plans immédiat, je ne savais ce que la vie allait encore me réserver. --Pourquoi me demandez vous ça avec un air si grave ? Lui demandais-je. -Parce que ... non rien ! Il parut soudain sonné et resta quelques instant le regard dans le vide. -Mais si dîtes moi ! Le pressais-je. Il prit une profonde nspiration qui me fit regretté d'avoir posé la question et me dit : -Mon fils ... mon fils s'est suicidé il y a deux ans ... il avait 17 ans. Il fixa le sol, puis le plafond pour ne pas pleurer. Moi et ma manie de poser des questions ! -Je suis désolé, je ne voulais pas vous faire de peine, dis-je en guise d'excuse pour tenter de le réconforter. -Ce n'est rien, vous n'y êtes pour rien. Il se leva, emmena mon plateau et revint relever mes analyses, me souhaita une bonne nuit en me demandant de ne pas m'en faire pour lui avant de quitter la chambre. Voila pourquoi il était si attentif avec moi ! Je lui rapellais son fils perdu, son fils qui n'avait pas eu ma "chance". La question "qui m'avait sauvé ?" me taroda à nouveau, j'avais 1 000 hypothèses toutes aussi dingue les unes que les autres, comme par exemple G. Clooney qui entrerait dans ma chambre en disant "What else ?". Mais le sommeil eu bientôt raison de moi et je me laissais emporté dans le royaume des rêves, celui que j'étais la seule à connaître et où je n'avais encore jamais emmené personne. | |
| | | queen rizu • Reine du monde•
Nombre de messages : 865 Age : 36 Localisation : Dans mon chateau/QG sur mon archipel! (Parfois près de la Tokyo Tower héhé) Mec(s) idéal : Ueda Tatsuya, alias mon brochet pervers chéri d'amour (puis certains de mes fidèles serviteurs jap'! ) Humeur : Dominatrice et majestueusement royale! Date d'inscription : 05/01/2008
| Sujet: Re: Ma fan fic : Déchirer la page Mer 23 Jan - 13:37 | |
| tiens tiens mais on se demande qui c'est George Clooney :hihi: :hihi: :hihi: :hihi: | |
| | | Manon
Nombre de messages : 330 Age : 37 Localisation : Chaintreauville Mec(s) idéal : Olala y'en a tellement! Humeur : Jaunitement bien Date d'inscription : 05/01/2008
| Sujet: Re: Ma fan fic : Déchirer la page Jeu 24 Jan - 9:14 | |
| jsuis fière de moi je me souviens de tout ! j'avais oublié par contre le prénom du medecin ptdrrr | |
| | | queen rizu • Reine du monde•
Nombre de messages : 865 Age : 36 Localisation : Dans mon chateau/QG sur mon archipel! (Parfois près de la Tokyo Tower héhé) Mec(s) idéal : Ueda Tatsuya, alias mon brochet pervers chéri d'amour (puis certains de mes fidèles serviteurs jap'! ) Humeur : Dominatrice et majestueusement royale! Date d'inscription : 05/01/2008
| Sujet: Re: Ma fan fic : Déchirer la page Jeu 24 Jan - 15:28 | |
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| | | Mo Arasick
Nombre de messages : 665 Age : 37 Localisation : National Stadium Mec(s) idéal : Arashi au complet, ils ont chacun un aspect qui donne un être parfait. Humeur : Luciférienne Date d'inscription : 05/01/2008
| Sujet: Re: Ma fan fic : Déchirer la page Mar 29 Jan - 18:59 | |
| faites moi penser à taper la suite ce soir ! | |
| | | queen rizu • Reine du monde•
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| Sujet: Re: Ma fan fic : Déchirer la page Mer 30 Jan - 12:34 | |
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| Sujet: Re: Ma fan fic : Déchirer la page | |
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| | | | Ma fan fic : Déchirer la page | |
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